Que symbolisent le feu ? (Apocalypse 8:7)


REP/Hail-feu-sang


Le premier sonna de la trompette. Et il y eut de la grêle et du feu mêlés de sang, qui furent jetés sur la terre; et le tiers de la terre fut brûlé, et le tiers des arbres fut brûlé, et toute herbe verte fut brûlée.

Apocalypse 8:7 - Louis Segond

 

 

⚪ Les jugements sur la papauté (au temps de Luther)

Apoc. 8:7
Le premier sonna de la trompette. Et il y eut de la grêle et du feu. - Ce fut le mouvement luthérien qui se produisit à ce moment-là; il se développa et, par la suite, engendra une foule de sectes [...] La grêle qui suivit le son de la trompette fut tranchante, coupante [...] Le feu qui suivit consista dans les jugements destructifs qui s'abattirent sur la papauté. Luther démasqua sans ménagement le système papal [...]

Source : 🇫🇷 1917 - Le Mystère Accompli, page 166 + Cover

 

⚫ L'indignation divine

Il est écrit (Apoc. 8:7) que la sonnerie de la première trompette fut suivie d'une chute de "grêle et de feu mêlés de sang, qui tombèrent sur la terre". Ces images symboliques ont un sens profond. [...] Le "feu" représente l'indignation divine: c'est un élément de destruction, un élément dévorateur qui brûle devant l'armée de Dieu [...]

Source : 🇫🇷 1930 - Lumière, vol 1, page 122 + Cover

 

⚫ Le message (enflammé) annoncé par les témoins de Jéhovah

Pour eux, le message que les témoins de Jéhovah se mirent à annoncer oralement et par les imprimés de la Société Watch Tower après la Première Guerre mondiale était comme de la grêle et du feu mêlés de sang et jetés du haut du ciel sur la terre. - Rév. 8:2,6,7. Pour ceux qui sont élevé, - les "arbres", - comme pour ceux qui sont abaissés, la "végétation" ou herbe verte; - le message annoncé était incendiaire, dur et mortel. Certes, le message prêché contenait les vérités célestes de la Parole écrite de Dieu, mais ces vérités ne produisirent pas l'effet rafraîchissant de la pluie. Elles ressemblaient plutôt à de la grêle froide et dure qui s'abattait sur le clergé et ses ouailles, qui furent assommés par ces vérités bibliques présentées avec force et sans pitié. Ces vérités enflammées consumèrent l'habit du faux christianisme que portaient les membres du clergé (les arbres) et leurs ouailles (la végétation verte), brûlant en quelque sorte ces faux chrétiens et prouvant que la chrétienté n'est ni chrétienne ni dans ses doctrines ni dans ses pratiques.

Source : 🇫🇷 La Tour de Garde, 15 Mars 1970, page 168 + Cover