L'enseignement de Russell concernant l'année 1881

 

 

Russell enseigne que l'appel céleste, le privilège d'appartenir à l'église, l'épouse du Christ, a pris fin en 1881:

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1889 |-->

nous considérons aussi l'année 1881 comme marquant la clôture de toute faveur spéciale pour les nations — la clôture du haut-appel, ou invitation aux bénédictions particulières à cet âge, pour devenir cohéritiers de Christ et participants de la nature divine. Comme nous l'avons vu, cette date marque un grand mouvement parmi le peuple juif vers le christianisme, connu sous le nom de «mouvement Kichinev». Maintenant la détresse est imminente pour la chrétienté nominale,

Source : Etudes des Ecritures, Vol.II, Le temps est proche (1889), page 252 et page 253

1891 |-->

Il doit être clairement compris que la fin du haut-appel invitant au cohéritage avec notre Seigneur Jésus dans le Royaume de Dieu n'est pas la fermerture de la porte de la parabole des vierges. L'"appel" général à cette faveur prit fin il est vrai, en 1881 néanmoins, la "porte" est encore ouverte.

Source : Etudes des Ecritures, Que ton règne vienne (1891), Vol.III, Chap.6, page 227

Cette faveur commença à un moment bien déterminé : les disciples qui étaient dans l'attente y furent admis le jour de la Pentecôte en l'an 33 de notre ère. Cette faveur prenait fin, comme nous l'avons déjà vu à un moment déterminé, en octobre 1881. D'autre part, dans la parabole de Matth. 25, la fermeture de la « porte » indique la fin de toute opportunité, même pour les « appelés », d'obtenir encore le prix du haut-appel. C'est la fin de toute occasion de prouver sa dignité au prix par la fidélité dans le service, car, dans la « nuit » où personne ne peut travailler (Jean 9 : 4), toute occasion de service cessera. On voit par là que la porte, ou l'occasion d'affermir notre vocation et notre élection, ne se ferme pas nécessairement quand l'appel, ou invitation générale pour entrer adressé à tous les croyants, cesse d'être proclamé. Pendant que la porte reste ouverte, elle indique que tout croyant désireux d'entrer et de remplir les conditions peut entrer bien que l' « appel » général, ou invitation ne soit plus adressé. C'est un fait positif que la porte ou l'occasion de travailler, de se sacrifier n'est pas encore fermée, n'est pas passée, bien que l'appel général ait cessé en 1881.

Source : Etudes des Ecritures, Que ton règne vienne (1891), Vol.III, Chap.6, page 228

Ainsi, dans le parallèle d'aujourd'hui, les 3 ans depuis avril 1878 (date du rejet de la prétendue chrétienté ou « Babylone »), conduisant à octobre 1881, furent le terme de la faveur du haut-appel limité aux croyants individuellement [dans Babylone]. Ainsi « l'appel » général (la faveur de cet Age de l'Evangile) cessa en octobre 1881, exactement comme cela avait eu lieu à la date correspondante, en octobre de l'an 36, lorsque la faveur judaïque prit fin.

Source : Etudes des Ecritures, Que ton règne vienne (1891), Vol.III, Chap.6, page 233

C'est cette faveur, cet « appel » ou invitation qui, nous l'avons vu, cessa complètement et pour toujours en octobre 1881, point de temps parallèle à la fin de l'appel ou faveur judaïque. [...] La fin de la faveur ou « appel », en 1881, est suivie ou plutôt chevauchée par l'appel général de toute l'humanité aux bénédictions et aux faveurs millénaires à des conditions de foi et l'obéissance volontaires (non pas cependant un sacrifice jusqu'à la mort). Cet appel est toutefois d'une nature inférieure, c'est une faveur inférieure à celle qui venait de prendre fin, un appel à jouir des bénédictions sous le Royaume, mais ce n'est plus un appel à faire partie de la classe ointe du Royaume.

Source : Etudes des Ecritures, Que ton règne vienne (1891), Vol.III, Chap.6, page 234

Il est un fait certain, c'est que les seuls qui voient clairement les traits élevés et importants de l'appel de l'Age de l'Evangile, les seuls qui pourraient annoncer ou exposer cet appel, sont ceux-là mêmes qui voient dans la Parole de Dieu que la limite du temps de cet appel fut atteinte en octobre 1881. D'autres, qui citent les paroles de l'apôtre au sujet d'un « haut-appel de Dieu en Christ », expliquent en réalité l'appel inférieur qui appartient à l'âge millénaire. Il en résulte que l'appel général de l'Evangile, le vrai, est terminé ; personne ne peut le prolonger, les uns parce qu'ils ne le comprennent pas et ne peuvent l'exposer, les autres parce qu'ils savent qu'il doit avoir une fin. Mais, si l' « appel » général est terminé, la « porte » n'est pas encore fermée, car la fin de l' « appel » et la fermeture de la « porte » sont deux faits distincts et séparés. La « porte » reste ouverte pour permettre à certains d'entrer dans la course pour le grand prix du co-héritage dans le Royaume après que l' « appel » général a cessé.

Source : Etudes des Ecritures, Que ton règne vienne (1891), Vol.III, Chap.6, page 235

Dieu ne pouvait donc appeler ou inviter à cet honneur plus de personnes que celles qui devaient compléter le nombre fixé d'avance. En octobre 1881, sa Parole le montre, ce nombre était au complet. Depuis cette date cependant, certains de ceux qui avaient répondu à l'appel général et fait alliance avec Dieu, ont manqué d'observer leur contrat ; ils n'ont pas couru de manière à obtenir le prix. La « porte » reste donc ouverte après la fin de l'appel général, pour permettre à quelques-uns d'entrer dans la course, de se sacrifier au service de la vérité, afin de remplacer ceux qui, pendant l'inspection, peuvent rejeter la robe de noce de la justice de Christ ; et aussi pour en remplacer d'autres qui, après avoir fait l'alliance du sacrifice personnel dans le service, aiment le présent monde et -se laissent accaparer par ses préoccupations ou ses plaisirs, et manquent d'observer les clauses de leur alliance. On remarquera encore que la fin de l'appel, en 1881, ne supprima en rien les privilèges des milliers de gens qui avaient déjà accepté l'appel, et étaient devenus des serviteurs consacrés de Dieu : cette fin d'appel ne mit à la porte aucun de: ceux qui étaient déjà entrés ; elle n'implique pas davantage que personne ne peut plus entrer : ce fut simplement l'arrêt de l'invitation générale de Dieu.

Source : Etudes des Ecritures, Que ton règne vienne (1891), Vol.III, Chap.6, page 236

Quelques-uns diront peut-être: « Je crains de ne pas être l'un de ces appelés avant la fin de l'appel général, en 1881, car, à ce moment-là, non seulement j'ignorais totalement les choses profondes de Dieu, mais plus encore : j'étais absolument un étranger pour Dieu, et même j'étais un de ses ennemis, ne désirant nullement faire alliance avec Lui et entrer à son service. [...] A ceux-là nous répondons : Courez ! Votre cas n'est pas aussi désespéré que vous le pensez. La « porte » n'est pas encore « fermée ». N'oubliez pas que si tous ceux qui avaient accepté l'appel lorsqu'il se termina étaient restés fidèles à leur alliance, il n'y en aurait pas un de trop, mais juste assez.

Source : Etudes des Ecritures, Que ton règne vienne (1891), Vol.III, Chap.6, page 238 et page 239

Si donc quelqu'un a appris récemment à connaître et à aimer notre Seigneur, s'il désire le servir, lui et sa vérité, qu'il ne sa décourage pas du fait que le haut appel prit fin en 1881. ,Si vous voyez la « porte » de l'opportunité, de l'occasion de vous sacrifier, de servir le Seigneur ouverte devant vous, entrez-y, mais entrez rapidement, car bientôt une nuit de ténèbres et d'opposition intense à la vérité descendra sur nous et vous empêchera d'entrer dans le service.

Source : Etudes des Ecritures, Que ton règne vienne (1891), Vol.III, Chap.6, page 242

De même que 1881 fut la date parallèle à celle où la lumière de l'Evangile se tourna de Jacob vers les Gentils, ainsi elle marque également le début du retour de la lumière spéciale aux Juifs depuis longtemps aveuglés. Conforme à son modèle juif, aujourd'hui l'Eglise chrétienne nominale trébuche dans son aveuglement tandis que seul un petit reste de chrétiens sont bénis.

Source : Etudes des Ecritures, Que ton règne vienne (1891), Vol.III, Chap.8, page 305

Rappelons que, selon les Ecritures, la fin complète du pouvoir des nations dans le monde et du temps de détresse qui amènera son écroulement suivra la fin de l'année 1914 et que quelque temps après (*) cette date, l'Eglise de Christ sera « changée », glorifiée. Souvenons-nous aussi que les Ecritures nous ont prouvé de différentes manières, par les cycles jubilaires, par les 1.335 jours de Daniel, par les dispensations parallèles, etc., que la « moisson » ou fin de cet Age devait commencer en octobre 1874, date à laquelle le grand 'Chef moissonneur devait être présent ; que sept ans plus tard — en oct. 1881 — le « haut-appel » prenait fin, bien qu'après cette date, sans qu'un appel général soit lancé, d'autres seront admis aux mêmes faveurs pour remplacer certains appelés qui dans leur épreuve seront trouvés indignes.

Source : Etudes des Ecritures, Que ton règne vienne (1891), Vol.III, Chap.10, page 397

soit les dates pour (a) octobre 1874, pour (b) : octobre 1881 et pour (c) : octobre 1910 de notre ère. Ces trois dates différentes indiquant la fin sont d'accord avec celles que nous avons trouvé enseignées dans les Ecritures, à savoir que la « moisson ou fin; de l'âge » commença en octobre 1874 et que l' « appel » proprement dit se termina réellement en octobre 1881. Quoique l'appel général eût cessé en 1881, les mêmes privilèges seraient encore offerts pendant un certain temps à quelques personnes qui en seraient dignes, ces dernières prenant la place d'autres précédemment appelées qui, pendant leur épreuve, auraient été jugées indignes des couronnes qui leur avaient été réservées lorsqu'elles acceptèrent l'appel.

Source : Etudes des Ecritures, Que ton règne vienne (1891), Vol.III, Chap.10, page 399

 

Charles Taze Russell (le fondateur de l'organisation des témoins de Jéhovah) est aussi connu pour son attachement à la pyramidologie. Il a d'ailleurs étayé cette date de 1881, en nous proposant des calculs, ayant été fait à partir de certaines mesures intérieures de la Grande Pyramide. Voyez par vous-mêmes

La Pyramide nous dit ainsi que « sept ans avant la fin du haut-appel [avant octobre 1881], le grand être céleste fera son entrée ». Elle nous dit en outre que, à partir de ce moment — octobre 1874 - graduellement, ainsi que l'indique l'inclinaison de la paroi sud, l'appel tirerait à sa fin et se terminerait complètement en octobre 1881. [...] faut-il admettre qu'il y ait une simple coïncidence, due au hasard, dans l'exactitude de sujets portant sur six mille ans d'histoire d'une part et des milliers de pouces des mesurages de la Grande Pyramide d'autre part ? Non ; mais vraiment la vérité est plus étrange et plus merveilleuse que le roman: « Ceci a été de par l'Eternel : c'est une chose merveilleuse devant nos yeux » (Ps. 118: 23). En outre, il semblerait qu'à la fin de la faveur spéciale de l'appel général de l'Age de l'Evangile (octobre 1881), la bénédiction sur le monde dût commencer. [...] Si maintenant nous adoptons la date de 1881, fin clairement marquée de l'appel spécial de l'Age de l'Evangile comme date à partir de laquelle les bénédictions du rétablissement devaient commencer, et si nous regardons l'extrémité inférieure du « Puits » comme marquant cette date de 1881, nous trouvons quelque chose d'intéressant en mesurant en arrière le long du Passage d'Entrée, jusqu'à l'entrée primitive de la Pyramide. Cette longueur est de 3.826 pouces pyramidaux, représentant ainsi 3.826 années. Si notre supposition est bien fondée, 3.826 ans avant l'année 1881 doivent indiquer la date de quelque grand événement. En cherchant dans les faits historiques relatés par la Parole de Dieu, nous trouvons une confirmation remarquable de notre hypothèse : en effet, 3.826 ans avant 1881, c'est-à-dire en 1945 av. J.-C., Isaac, la semence-type selon la promesse, devint héritier de la fortune de son père Abraham ; il put dès lors bénir tous ses frères : le fils d'Agar, Ismaël (type d'Israël selon la chair) et les nombreux fils et filles de Kétura, la seconde épouse d'Abraham (types du monde en général). Ainsi le « Passage d'Entrée », depuis le bord extérieur de l'entrée de la Pyramide jusqu'au bord le plus rapproché de l'orifice inférieur du passage relié au « Puits », mesuré en pouces pyramidaux, indique en pouces-années la période comprise entre le jour où Isaac-type (sur lequel reposait typiquement la promesse de bénir le monde) devint l'héritier de tous les biens, 1945 ans av. J.-C. et le jour, 1881 ap. J.-C., où Christ, Isaac-antitype, héritier de toutes choses (Gal. 3 : 16, 29) pouvait réellement commencer à bénir le monde. Nous mesurons comme suit la période entre le moment où Isaac hérita et obtint le privilège de pouvoir bénir ses frères et 1881 après J.-C. : Isaac prit possession de son héritage à la mort de son père Abraham qui eut lieu 100 ans après qui l'alliance abrahamique fut conclue [...] Ces 1.945 années avant J.-C., ajoutées aux 1.881 années après J.-C., donnent les 3.826 années indiquées par les pouces pyramidaux comme étant la longueur de la période qui doit s'écouler entre le moment où la semence-type Isaac apporte des bénédictions-types à ses frères et le moment où le Christ, l'Isaac-antitype, bénit le monde entier. On se demandera peut-être ce qui marque le commencement de l'oeuvre du rétablissement en octobre 1881. A cela nous répondons : Rien ne se produisit que le monde aurait pu discerner. Nous marchons aujourd'hui encore par la foi et non par la vue. Depuis la date 1881, toutes les étapes préparatoires en vue du grand travail du rétablissement doivent être considérées comme des gouttelettes de la grande pluie de bénédictions qui rafraîchira avant peu toute la terre. L'oeil de la foi seul put discerner, à la lumière de la Parole de Dieu, les événements qui survinrent en 1874 et en 1881. Cette dernière date indiquait la fin du haut-appel, et par suite, le commencement de la proclamation du rétablissement — la trompette du Jubilé.

Source : Etudes des Ecritures, Que ton règne vienne (1891), Vol.III, Chap.10, page 401, page 402, page 403 et page 404

1907 |-->

Il faut bien comprendre que la fin de l'appel céleste pour le Royaume n'est pas la fermeture de la porte dans la parabole des vierges. Si l'appel général à cette faveur a cessé en 1881, la "porte" est toujours ouverte [...] Cette faveur eut un moment marqué pour son début: les disciples vigilants y entrèrent au jour de Pentecôte, en l'an 33. Et elle avait aussi un temps fixé pour sa fin, savoir en octobre 1881 [...] Et puisque la porte est toujours ouverte, cela indique que tout croyant qui désire entrer et qui est prêt à remplir les conditions requises, peut le faire encore, même si "l'appel" pour y rentrer n'est plus publié. Il est certain que la "porte" du travail et du sacrifice n'est pas encore fermée, quoique l'appel général ait pris fin en 1881.

Source : Le Phare de la Tour de Sion, Mars 1907, page 24

Il en est de même dans le parallèle: les 3 ans 1/2 depuis 1878, quand la soi-disant chrétienté, la "Babylone", fut rejetée de la faveur jusqu'en octobre 1881 : ce fut la clôture de la faveur de l'appel céleste, comme la date correspondante d'octobre 36 marque la fin de la faveur judaïque [...] C'est cette faveur, cet appel, que nous avons vu cesser pour toujours en oct. 1881 temps parallèle de la fin de l'appel judaïque [...] La cessation de "l'appel" en 1881 est suivie ou plutôt superposée par l'appel général du monde entier aux bénédictions et aux faveurs millénaires reposant sur des conditions de foi et d'obéissance volontaires (non toutefois de sacrifice jusqu'à la mort). Cet appel cependant est moindre et la faveur aussi est inférieure à celle qui a cessé... Il est donc certain que ceux-là seuls qui voient clairement les traits si hauts et sublimes de l'appel de l'âge de l'Evangile, les seuls par conséquent qui pourraient annoncer ou expliquer cet appel, sont ceux à qui la parole de Dieu a enseigné que la limite de cet appel fut atteinte en octobre 1881 [...] Il s'ensuit qu'il ne peut pas inviter à cet honneur plus que le nombre déterminé. Sa parole montre qu'en octobre 1881 ce nombre total a été obtenu [...] On doit remarquer aussi, que la cessation de l'appel en 1881, n'a rien à faire avec les milliers d'êtres qui avaient déjà accepté l'appel et étaient devenus des serviteurs consacrés à Dieu.

Source : Le Phare de la Tour de Sion, Mars 1907, page 26

Mais quelqu'un dira encore: Je crains de ne pas être de ceux qui furent appelés avant 1881: car non seulement j'ignorais alors les choses profondes des promesses de Dieu: mais j'étais un étranger pour Dieu, que dis-je, bien loin d'avoir fait alliance avec lui pour son service ou d'en avoir même le désir, j'étais un de ses ennemis [...] Nous répondrons à cette personne: Continuez à courir. Votre cas n'est pas si désespéré qu'il vous semble, la porte n'est pas encore fermée. Rappelez-vous que si tous ceux qui avaient accepté l'appel s'étaient montrés fidèles à leur alliance, lorsque l'appel cessa, ils n'auraient pas été trop nombreux mais le nombre requis. Rappelez-vous aussi, que notre observation, aussi bien que ce que disent les Ecritures, indique que sur la quantité qui acceptent l'appel, peu sont choisis, parce que peu seulement se montrent fidèles à leur alliance, une fois soumis à l'épreuve. Lorsque, l'un après l'autre, plusieurs des appelés se montrent infidèles, leur occasion, leur tâche et leur couronne sont transférée à d'autres. Une de ces tâches, une de ces couronnes peut vous être transmise et votre nom peut être écrit dans le livre de vie comme mis à l'épreuve à la place d'un autre qui aura été biffé comme indigne.

Source : Le Phare de la Tour de Sion, Mars 1907, page 27

celui qui n'est arrivé que tout récemment à connaître et à aimer le Seigneur et qui désire le servir lui et sa vérité ne doit pas se décourager parce que l'appel général a cessé en 1881. Si vous voyez la porte d'opportunité et de sacrifice ouverte devant vous, hâtez-vous d'y entrer.

Source : Le Phare de la Tour de Sion, Mars 1907, page 28

Voir aussi : Russell, Charles Taze (anglais), Que ton Royaume vienne, Watch Tower, page 362

 

Les Témoins de Jéhovah ont prétendu d'abord que le haut appel ou appel céleste a cessé en 1935, et non en 1881, et actuellement, en le changeant encore une fois, enseignent qu'on ne peut pas savoir quand cet appel se termine exactement!

 

1917 |-->

... et la fin du haut appel général en 1881
... la fin complète de toute voie d'accés au ciel pour les humain en 1921

Source : 1917 - Le Mystere Accompli, Page 77


Voir contradiction sur l'appel céleste

🇺🇸 Voir les sources anglaises